La question n'est pas d'attendre un quota de morts pour prendre une décision ou expérimenter.Seillonaz a écrit : 12 sept. 2018, 13:02tu peux nous dire combien de morts y a t-il eu ces 10 dernières années en course?Tung a écrit : 12 sept. 2018, 09:45 Il y a eu un noyé cet été dans le Lac de la Ramée à Toulouse.
OK, c'était un pochtron tchechene complètement bourré de son pique nique qui est allé cuver au milieu du lac.
Ca c'est la vraie version et officielle. Mais tout le monde ne la connaît pas cette version.
Pour le grand public et les fouteurs de merde habituels, les nageurs eaux libres sont maintenant des inconscients et ça alerte les pouvoirs publics.
Si les nageurs, les triathlètes s'équipent de Safety bags, hormis le fait que c'est plus qu'utile, ça démontre une prise de responsabilités et on nous foutra la paix pendant nos entrainements.
Et en mer/lac, ça évite aussi à un kite surfeur, un bateau, une planche à voile, un jet ski inconscient de venir nous rouler sur la gueule.
Pour des courses, le Restube est l'unique solution, il faut la démocratiser maintenant.
C'est vrai que dans l'absolu le Restube peut faire poser des questions sur sa réelle utilité, autant que les masques à oxygène dans un avion de ligne.
Il y a 4 ans, un sportif dans la trentaine resplendissante est mort en natation au Triathlon de la Ramée. Un Restube n'aurait sûrement pas sauvé sa peau il a fait un arrêt cardiaque.
Comme un Restube ne sera pas super utile à Aurélie Muller ou Axel Reymond.
Après, il existe un risque. Personne n'est invincible. Ca n'arrive pas qu'aux autres. Si c'est plus handicapant de porter ce machin, et trop coûteux, ça bougera à la FFN puis ailleurs. En attendant ça reste au stade de l'expérimentation. Y aura t il un évènement qui prouvera son utilité ? J'aurais envie de te dire que c'est pas ça qui est aussi attendu.
Comme le port du casque obligatoire en T2, parce qu'un jour il y en a un qui s'est bien fait mal au crâne en glissant avec ses shoes de vélo.
Mieux vaut des fois prévenir que guérir et réflechir à toutes les opportunités avant le drame.