Nous ne sommes effectivement pas des sprinters en général ... mais certains triathlètes ont des gabarits sensiblement supérieurs à leurs homologues cyclistes, d'une part ... et d'autre part, la position sur les prolongateurs, souvent plus avancées, entraîne une répartition des masses différentes, plus sur l'avant
En gros, la SLX est vraiment une fourche très light, et pour un triathlète un peu lourd, le modèle SL est à mon avis plus approprié pour garantir un comportement routier homogène

Mais le problème du vent, c'est que quand y'en a, on a toujours l'impression de l'avoir dans la gueule !!! Jean Siri, mai 2005