


Je ne pense pas, je suis complètement d'accord avec toi sur la nécessité de bosser la vitesse.benjaminlandier a écrit :mouais , ta façon de voir les choses ça fait des athlètes qui se trainent comme des limaces et qui n'ont plus de vitesse!
pour le long , relisez plutot l'interview de faris al sultan , il dit de travailler toujours la vitesse ,moi c'est ma façon de faire ,je m'entraine avec des spécialistes du court ,je rallonge ,c'est tout
où trouver cette interview de FAS svp ?benjaminlandier a écrit : mouais , ta façon de voir les choses ça fait des athlètes qui se trainent comme des limaces et qui n'ont plus de vitesse!
pour le long , relisez plutot l'interview de faris al sultan , il dit de travailler toujours la vitesse ,moi c'est ma façon de faire ,je m'entraine avec des spécialistes du court ,je rallonge ,c'est tout
orscand a écrit :Je ne pense pas, je suis complètement d'accord avec toi sur la nécessité de bosser la vitesse.benjaminlandier a écrit :mouais , ta façon de voir les choses ça fait des athlètes qui se trainent comme des limaces et qui n'ont plus de vitesse!
pour le long , relisez plutot l'interview de faris al sultan , il dit de travailler toujours la vitesse ,moi c'est ma façon de faire ,je m'entraine avec des spécialistes du court ,je rallonge ,c'est tout
Pour moi c'est justement l'hiver ou en début de saison qu'il faut privilégier le qualitatif, après quand tu augmentes vraiment le volume tu n'arrives plus à faire du qualitatif correctement, surtout en course à pied où on se blesse facilement.
C'est aussi pour ça que je pense que faire un MD ça ne donne pas grand chose (mis à part se fatiguer), quitte à faire des courses autant faire des sprint ou des CD pour être obligé de faire fumer un peu le diesel!
Après, faut quand même voir que le vélo à Embrun c'est 186 bornes de montagne, soit quasiment 2 heures de plus que sur un autre ironman, alors ils faut quand même se taper des sorties vraiment longue pour tenir le jour J sans être trop attaqué. Perso, je me tape régulièrement des sorties de plus de 200 bornes dans les 6 semaines avant la course.
Bien sûr, les pros peuvent se permettre de bosser plus que nous la vitesse, étant donné le volume horaire qu'ils s'envoient, ils ont la caisse pour un ironman. Pour des pimpims comme nous, c'est pas possible de se taper autant de volume et d'intensité, mais il faut quand même faire le volume à un moment ou un autre!
A près avoir réfléchi un peu au sujet depuis Embrun, je vais te répondre en ma qualité de triathlète moyen, sans autre objectif que déjà de finir Embrun, et de faire de mon mieuxphil on the air a écrit :Bonjour!
selon vous quels sont le spoints clé d'une bonne prépa pour embrun!
Brett Sutton, dans "regards d'expert sur le triathlon" explique qu'il prépare les athlètes pour les LD de la même façon que ceux qui préparent des CD, il se contente d'ajouter à leur planif une séance longue par discipline et par microcycle.benjaminlandier a écrit :mouais , ta façon de voir les choses ça fait des athlètes qui se trainent comme des limaces et qui n'ont plus de vitesse!orscand a écrit :1/ que faites vous durant l'hiver? foncier classique ou orienté LD?
Bosser les points faibles, quelle que soit la discipline, c'est le seul moment où on a le temps de faire quelque chose de sérieux niveau qualitatif.
Si t'es nul en càp, tu vas te bouffer de la piste, si tu ne sais pas nager tu vas à la piscine 5 fois par semaine etc...
Bien sur, garder un minimum d'activité dans chaque discipline
2/ quels types d'objectifs au printemps?
Si ton objectif c'est vraiment Embrun, pas d'objectifs au printemps, tu t'entraines...
Après tu peux faire les courses qui te font plaisir, mais ce ne seront pas des objectifs.
Je pense également que faire un marathon est une erreur, étant donné le temps de récupération qu'il entraine.
3/ quand attaquez vous la periode spécifique?
C'est quoi le spécifique? Si tu fais du long tu t'entraines pour du long toute l'année!
Sinon, je pars du principe que toutes les séances faites à partir de 4 mois avant la course serviront le jour J.
4/ un MD est il nécéssaire?
Non, ça va te pomper de l'énergie pour pas grand chose, il vaut mieux s'entrainer.
Le seul avantage est de se mettre en confiance si on n'a pas trop confiance en soi.
pour le long , relisez plutot l'interview de faris al sultan , il dit de travailler toujours la vitesse ,moi c'est ma façon de faire ,je m'entraine avec des spécialistes du court ,je rallonge ,c'est tout
J'ai un peu de mal à considérer ce gars comme une référence ... notamment pour des triathlètes purement amateursPLUDJAMB a écrit :Brett Sutton, dans "regards d'expert sur le triathlon" explique qu'il prépare les athlètes pour les LD de la même façon que ceux qui préparent des CD, il se contente d'ajouter à leur planif une séance longue par discipline et par microcycle.
Je pense la m^me chose, entre une prépa Embrun 2005 axé sur le long et dans laquelle je n'arrivais pas à digérer les longues sorties et une prépa Roth 2006 axée allure spécifique ++, avec trés peu de longues sorties (une seule fois 155 k, 4 x 120 k), m^me volume horaire par contre mais plus fractionné soit parfois des mini séances de 40 min, 3 x /jour avec de l'intensité mais du repos aussi...Réultats, même si c'est dure de comparer, je passe de 4 h 48 sur le marathon d'Embrun à 3 h 16 à RothPLUDJAMB a écrit : Brett Sutton, dans "regards d'expert sur le triathlon" explique qu'il prépare les athlètes pour les LD de la même façon que ceux qui préparent des CD, il se contente d'ajouter à leur planif une séance longue par discipline et par microcycle.
C'est clair ... l'objectif ayant été de finir pour une 1ère participation, il fallait d'abord avoir la distance dans les jambestseusitchu a écrit :Je partage aussi ce sentiment sur le côté diesel ressenti assez vite dans la course . En même temps , je venais sur embrun en étant pas sûr d'avoir la capacité physique de terminer ... ailleurs que sur un brancard, c'est sûrement pour ça que moi comme Etienne oun beaucoup d'autres on a tendance à se concentrer sur l'endurance dans son approche .
Donc dans les bonnes résolutions : travailler plus en intensité : hiver mi-printemps intensités hautes et à partir de fin mai intensités correspondant aux allures de course .