Nanotubes carbone: une "supercherie" ?
Attali 'a la page'? le gars est un publicitaire depuis des annees et ne fait pas de recherche...major de l'X etc...ca veut dire en gros, poste eleve dans l'administration...pas chercheur.
Maintenant, si tu veux lire un bouquin pas mal, tu peux lire le livre de Michael Crichton 'Prey' (je ne sais pas s'il a ete traduit en francais)...ca reste pas mal SciFi mais cela identifie des derives potentielles des nanotechs.
Maintenant, si tu veux lire un bouquin pas mal, tu peux lire le livre de Michael Crichton 'Prey' (je ne sais pas s'il a ete traduit en francais)...ca reste pas mal SciFi mais cela identifie des derives potentielles des nanotechs.
- Richie
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"Attaqué" par quelques invités très choisis et notamment sur le fait que ses "brillants" conseils n'avaient pas été tellement suivis lorsqu'il conseillait les "puissants", il a dit en toute modestie qu'à défaut d'être toujours suivi, certaines de ses prédictions s'étaient réalisées !
Très modeste le "Jacques". Il se dit toujours « à la page », voire de l’anticiper.
Disons que que 100 idées qu’on lance, y en a forcément quelques unes qui vont se réaliser quand on comme lui, on s’intéresse à tout et on fait des passerelles entre les idées. C’est la « force » de certains Conseillers : la polyvalence et les liens, pour développer de nouvelles idées. C’est une forme de « recherche » qui rémunère très bien auprès des Politiques, qui ont autre chose à faire que « chercher ».
Enfin bon, une chose est certaine, c'est lui qui a "déniché" Ségolène ROYAL (il doit faire un peu dans la voyance).
Je crois avoir entendu parler du bouquin dont tu parles, de mémoire.
Je vais prospecter.
Il y a déjà eu des manifs à Grenoble sur les éventuelles conséquences médicales, à propos de MINATEC.
Théoriquement à l'école des Mines qu'il a fait, il y a de la "recherche" dans le cadre de projets, mais bon, ce n’est pas sur 10 ans.
Quant à l'ENA, le but de la recherche, c'est comment dissimuler son caractère "requin" et "flinguer" son voisin au classement.
Cela prépare bien à la politique.
En tout cas, il y avait dans l'émission, un extrait "collector" de Temps X avec le frères B et Attali venu prévenir l'avenir avec des lunettes Elthon Johntonienne et un mèche d'une longueur hallucinante. On est encore loin de ce qu’il annonçait.
Sinon, le Jacques il est depuis quelques années dans le micro-crédit en Afrique, mais a loupé le Nobel !
Il n'a fait que "suivre", il n'a pas conçu le concept.
Sinon, en fait dans « son » bouquin, en fait rien d’extraordinaire (déjà anticipé par Emmanuel TODT), il prédit le « bordel » aux USA, la perte de pouvoir des Etats et la monté des sphères privés (compagnies d’assurance), le développement des structures privées de sécurité face à la perte de pouvoir de l’Etat fédéral. Un très gros bordel, avec la domination de la Chine…
Mais bon, comme dans toutes ses phrases, il y a plein de mots savants, « nano » était très présents.
En plus, comme il parle vite, il fallait le « capter ».
Donc c’était plus « formel » : « nano »c’est dit, allez un autre mot…
Très modeste le "Jacques". Il se dit toujours « à la page », voire de l’anticiper.
Disons que que 100 idées qu’on lance, y en a forcément quelques unes qui vont se réaliser quand on comme lui, on s’intéresse à tout et on fait des passerelles entre les idées. C’est la « force » de certains Conseillers : la polyvalence et les liens, pour développer de nouvelles idées. C’est une forme de « recherche » qui rémunère très bien auprès des Politiques, qui ont autre chose à faire que « chercher ».
Enfin bon, une chose est certaine, c'est lui qui a "déniché" Ségolène ROYAL (il doit faire un peu dans la voyance).
Je crois avoir entendu parler du bouquin dont tu parles, de mémoire.
Je vais prospecter.
Il y a déjà eu des manifs à Grenoble sur les éventuelles conséquences médicales, à propos de MINATEC.
Théoriquement à l'école des Mines qu'il a fait, il y a de la "recherche" dans le cadre de projets, mais bon, ce n’est pas sur 10 ans.
Quant à l'ENA, le but de la recherche, c'est comment dissimuler son caractère "requin" et "flinguer" son voisin au classement.
Cela prépare bien à la politique.
En tout cas, il y avait dans l'émission, un extrait "collector" de Temps X avec le frères B et Attali venu prévenir l'avenir avec des lunettes Elthon Johntonienne et un mèche d'une longueur hallucinante. On est encore loin de ce qu’il annonçait.
Sinon, le Jacques il est depuis quelques années dans le micro-crédit en Afrique, mais a loupé le Nobel !
Il n'a fait que "suivre", il n'a pas conçu le concept.
Sinon, en fait dans « son » bouquin, en fait rien d’extraordinaire (déjà anticipé par Emmanuel TODT), il prédit le « bordel » aux USA, la perte de pouvoir des Etats et la monté des sphères privés (compagnies d’assurance), le développement des structures privées de sécurité face à la perte de pouvoir de l’Etat fédéral. Un très gros bordel, avec la domination de la Chine…
Mais bon, comme dans toutes ses phrases, il y a plein de mots savants, « nano » était très présents.
En plus, comme il parle vite, il fallait le « capter ».
Donc c’était plus « formel » : « nano »c’est dit, allez un autre mot…
- Richie
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Rapidement :chamach a écrit :
Si tu crois crédibiliser ton propos en voyant du nano chez Apple...Richie a écrit :??? C'est un "lecteur" sauf qu'il est de la taille d'une carte de crédit d'où le nom de "nano".
Le 1er à avoir sorti un tel lecteur de cette taille, que je sache.
http://www.pcinpact.com/actu/news/26050 ... e-cube.htm
Et pourquoi ne pas avoir donné le nom de Nano au Shuffle dès sa sortie alors ??? Il est nettement le plus petit des iPod (et ce dès sa première déclinaison de Janvier 2005)... Vivement les Shuffletechnologies alors !
Le reste de tes posts ne présente pas plus d'intérêt, à part la possibilité que tu as eu d'évoquer de 2001, une de tes nombreuses passions... C'est dommage donc qu'il n'y ait pas de nano jaune...

chamach a écrit :
Hum, l'innovation permet d'avaler les "autres" (comme je le disais) ou de "résister" : en comparant Apple et Microsoft, tu confirmes mes propos, car tu compares à un moment "T" en terme de taille une "nano boîte" (APPLE) contre une déjà un très grosse multinationale déjà installée en un temps record (Microsoft via son système d’installation, et qui surtout au début avait le soutien d’IBM qui n’a pas cru au Software et a laissé passer le bon filon : erreur stratégique).
La « copie », l’inspiration c’est très courant…(voir second article), seule l’innovation permanente permet de « résister ».
Quant à l’utilisation du terme " NANO " par APPLE, ils ont pigé chez Apple. Ils ont été les premiers à communiquer là dessus, et voilà les résultats (je me souviens de la présentation où Steve JOBS l’avait dans sa poche de pantalon et il était " invisible "). Creative a suivi avec le « Zen NANO plus » dans le nom : cela nano cogite, et veut nano vendre, sur le mot « nano » ! Les autres « suivent »…(voir article : « Quand l’Ipod nano nano inspire la concurrence » ci-dessous.
Cap Gemini, toujours dans l’innovation vient d’acheter en Inde une « petite » boîte financière (grosse en personnel) cette semaine, pour pouvoir selon les dires du DG (Paul Hermelin) continuer à pouvoir « innover » donc survivre. La Chine et l’Inde produisent des Ingénieurs et scientifiques à la chaîne et coûtent beaucoup beaucoup moins chers…
Quant au lecteur le "plus petit", ce n'est pas moi qui le dit (lol) : voir les deux premiers articles.
Bref, plonge toi dans la lecture de Schumpeter et de ses disciples...
PS : Pour le Shuffle, pas assez « petit » : le symbole de la carte de crédit, c’est une taille référente…(tant qu’il n’était pas ultra « plat », cela n’allait pas en terme de communication d’où l’abandon de cela :
http://members.shaw.ca/ventro2/design/f ... odnano.jpg
3 articles : La concurrence qui suit le NANO d’Apple, le renouveau d'Apple, l'espionnage industrielle.
Quand l'iPod Nano inspire la concurrence Didier Sanz . Publié le 04 octobre 2006Actualisé le 04 octobre 2006 : 16h06 Neo Sensi Music et Innovix iPocket.
(DR.)
Neo Sensi Music et Innovix iPocket.
(DR.).
Les lecteurs MP3 qui imitent le produit vedette d'Apple sont parfois plus complets, mais rarement aussi séduisants.
NANO ou pseudo-Nano ? Depuis qu'Apple a lancé son baladeur miniature (9 x 4 cm) extra-plat (6,5 mm) et ultraléger (40 g), quantité de constructeurs ont suivi le mouvement, proposant des lecteurs audios inspirés de l'iPod Nano. De la taille d'une carte de visite, ils tiennent dans la poche, disposent d'un écran couleurs et d'une molette ou de boutons simplifiés pour contrôler la lecture des morceaux. Eux aussi stockent des milliers de chansons dans leur mémoire flash, ainsi que des photos et des mémos, parfois même, des enregistrements audios et des vidéos. Détail amusant : à une exception près (SanDisk Sansa), ils sont tous disponibles... en noir ou en blanc. Comme l'ancien iPod Nano. Maintenant que le baladeur d'Apple arbore des couleurs, ses concurrents vont probablement, eux aussi, se parer de vert, de rose ou de bleu.
Mais il serait réducteur de ne voir dans ces appareils que de pâles copies du premier d'entre eux. Certains sont plus complets, offrant radio FM (désactivée en Europe sur certains appareils) ou enregistreur vocal, alors que le Nano est toujours dépourvu de ces fonctions. D'autres sont plus confortables, équipés d'un grand écran ou d'un emplacement pour ajouter des cartes mémoire. Leur prix s'en ressent parfois : jusqu'à 250 € alors que le Nano coûte de 159 € à 259 € selon sa capacité (de 2 à 8 Go).
Reste un détail d'importance : si tous ces modèles, y compris le Nano, peuvent lire des fichiers MP3, aucun ne pourra reconnaître les fichiers téléchargés sur iTunes Store. La solution : graver sur CD les titres achetés en ligne sur la boutique d'Apple puis les importer dans un deuxième temps sur le baladeur.
D'ailleurs, l'intégration entre le logiciel et le matériel joue un rôle primordial dans le plaisir d'utiliser l'appareil. Avec le Nano, il suffit de lancer iTunes pour faire le plein du baladeur. Avec ses concurrents, il faudra installer le logiciel qui accompagne le produit ou, si le constructeur l'autorise, utiliser Windows Media Player. Heureusement, certains appareils sont reconnus comme disque dur par l'ordinateur, et il est alors possible de transférer les fichiers en faisant simplement glisser leur icône d'un dossier à l'autre. Dans ce cas, le lecteur peut aussi bien être utilisé sur Mac que sur PC.
i-Random MP8 - L'habit ne fait pas le moine
Clone ? Ce baladeur essentiellement vendu en grandes surfaces, ressemble à s'y méprendre à son modèle. Du moins, de loin. Aussi large mais un peu moins haut et plus épais, il est plus léger que le Nano. Son écran est de la même taille, mais il dispose en prime d'un enregistreur vocal. Il lit les fichiers MP3, WAV et WMA, les images JPEG et même les vidéos dans un format particulier. Reste que, hormis la ressemblance, ce baladeur ne soutient pas la comparaison en terme de confort d'utilisation, de finition et de qualité audio comme vidéo... 100 € (1 Go).
Neo Sensi Music - Pour commencer
Nettement inspiré du look des baladeurs d'Apple, ce modèle ultra-léger est plus petit que le Nano (67 x 34 mm). Il offre une fonction dictaphone et des boutons de contrôle sur une surface sensible. Son écran se contente d'afficher deux couleurs (blanc sur fond bleu) dans une résolution assez faible et sa compatibilité se limite aux formats MP3 et WMA. Bref, un produit qui, en raison de ses fonctions basiques et de son petit prix, séduira ceux qui cherchent un baladeur bon marché. 60 € (1 Go) ou 100 € (2 Go).
Innovix iPocket - Copie (presque) conforme
Mêmes dimensions que le Nano (90 x 40 mm) avec quelques millimètres d'épaisseur en plus, une surface en plastique et un dos métallisé... Mais à la place de la molette de l'iPod, on trouve cinq boutons disposés en croix. Et au lieu du connecteur minijack de 3,5 mm, une sortie audio qui oblige à utiliser un adaptateur spécial pour brancher des écouteurs standard ! Équipé d'un enregistreur vocal, il lit les fichiers MP3, WMA et WAV, les photos JPEG et peut servir de mini console de jeux... à condition d'avoir de bons yeux. 80 € (1 Go).
Memup Senso - Peut mieux faire
Seul fabricant français du lot, Memup propose un baladeur élégant et léger avec radio FM et enregistreur vocal, qui sait à la fois lire les fichiers audios (dont le WMA et le WMA protégé), les photos et les vidéos. Ajoutez un écran large (1,8 pouce) et un pavé tactile. Ce qui ne suffit pas à le rendre supérieur à l'iPod Nano. Son boîtier en plastique laisse un impression de fragilité. Seul le format vidéo AMV est reconnu, ce qui oblige à convertir les séquences au moyen du logiciel fourni. Il n'est pas possible de naviguer dans les menus pendant l'écoute une chanson. Enfin, sa capacité se limite à 1 ou 2 Go. 70 € (1 Go) ou 100 € (2 Go).
Samsung YP-Z5 - Champion de l'autonomie
Il dispose d'une fonction dictaphone et son écran est plus grand que celui du Nano (1,8 pouce contre 1,5). Outre les fichiers MP3, il reconnaît les formats WMA et WMA protégés et OGG/Vorbis, ce que ne permet pas le Nano. Selon Samsung, sa batterie garantit une autonomie de lecture de 39 heures. Mais il est aussi plus lourd que le Nano (56 g). Pas de molette de contrôle mais un pavé tactile qui demande un certain apprentissage. Enfin, la saisie des informations et une partie des opérations s'effectuent via le logiciel Samsung Media Studio pour Windows. Le modèle le plus cher de notre sélection. 169 € (2 Go) ou 250 €<(4 Go).
SanDisk Sansa e260 - Une alternative coûteuse
Grand écran très lumineux, boîtier robuste, adaptateur pour cartes mémoires, enregistrement vocal, lecture de photos et de vidéo... C'est sans doute le plus complet (mais aussi l'un des plus chers), sinon le plus abouti des concurrents du Nano. Certes, il est deux fois plus épais (13 mm) et plus lourd (75 g), mais il procure un plaisir d'utilisation qui rappelle celui de l'iPod, en raison notamment de sa molette mécanique et de son interface. Enfin, reconnu comme disque dur, il permet d'échanger les fichiers avec n'importe quel ordinateur. 150 € (2 Go) ou 250 € (4 Go).
LE MONDE | 21.10.06 | 14h33 • Mis à jour le 21.10.06 | 14h33
Après avoir soufflé ses 30 bougies en avril, Apple s'apprête à fêter, lundi 23 octobre, les cinq ans de l'iPod, son célèbre baladeur numérique. Ce lecteur-enregistreur de musique et d'images est devenu un phénomène de société et a redonné un nouvel élan au groupe américain donné pour mort il y a dix ans.
L'entreprise, présidée par le charismatique Steve Jobs, affiche une santé florissante. Sur son exercice 2005-2006, clos en septembre, son chiffre d'affaires a augmenté de 39 %, à 19,3 milliards de dollars (15,3 milliards d'euros), et son bénéfice net a explosé à 2 milliards de dollars, en hausse de près de 50 %. Son cours, tombé à 50,67 dollars en juillet, approche désormais les 80 dollars.
Le succès de l'iPod ne se dément pas, faisant taire les prédictions selon lesquelles le groupe américain allait voir ses ventes ralentir. Depuis 2001, Apple a vendu 67 millions d'iPod dans le monde et 39 millions rien que sur son dernier exercice. Pourtant les concurrents ne manquent pas : le néerlandais Philips, le japonais Sony, le coréen Samsung et le français Archos qui fut, avec le Juke Box 6 000 (pour 6 000 minutes de musique), l'ancêtre de l'iPod, n'ont qu'une idée en tête : "tuer" l'iPod.
Mais Apple règne sans partage sur la musique. Les ventes de son baladeur numérique sont tirées par le logiciel iTunes, qui permet de se constituer une discothèque sur son ordinateur, de copier des morceaux, des photos et des vidéos sur son iPod et d'écouter des "podcast", ces émissions de radio diffusées via Internet.
Enfin, grâce à son magasin en ligne permettant de télécharger en toute légalité des morceaux, plus de 1,5 milliard de titres - sur un catalogue en proposant plus de 3 millions - ont été achetés depuis sa création, en avril 2003. Aujourd'hui, iTunes Music Store détient près de 80 % des ventes mondiales de musique en ligne et 75 % du marché mondial des baladeurs à disque dur.
DE NOMBREUSES INNOVATIONS
Pour asseoir sa domination, Apple a multiplié les innovations et proposé un produit meilleur marché en lançant l'iPod Shuffle. Car ce sont avant tout les petits baladeurs à faible capacité (mémoire flash) et à bas prix que s'arrachent les consommateurs.
Sur ce marché, les ventes de tous les fabricants ont été multipliées par quatre entre 2004 et 2005, passant de 37 millions à 128 millions. Fin 2006, le marché devrait atteindre les 180 millions.
"Nous venons de lancer le plus petit lecteur numérique au monde. Il est deux fois plus petit et peut stocker deux fois plus de musique que son prédécesseur", affirme Pascal Cagni, directeur général Europe.
Reste à savoir si Apple pourra résister à la concurrence de Microsoft. Le géant des logiciels doit lancer le 14 novembre aux Etats-Unis son baladeur numérique baptisé Zune, construit par Toshiba, au prix de 249,99 dollars. Le même jour, Microsoft ouvrira Zune Market Place, un magasin de musique en ligne. Comme l'iPod, le Zune offrira de la musique et des vidéos. Mais il ne permettra pas encore de télécharger des films sur Internet.
Apple a annoncé en septembre le lancement d'un service légal et payant de téléchargement de films (entre 9,99 dollars et 14,99 dollars). D'où la réponse de Steve Jobs, interrogé il y a quelques jours par le magazine Newsweek sur le fait de savoir si l'arrivée de Microsoft l'inquiétait : "En un mot, non", a-t-il répondu.
Cette suprématie dans la musique se retrouve dans les comptes d'Apple. En 2005-2006, la part de ce secteur a représenté 42 % de son chiffre d'affaires.
Sur le volet des ordinateurs, preuve est faite que le succès de l'iPod profite aussi aux Mac. Il ne s'en est jamais autant vendu qu'au cours de l'exercice 2005-2006 : 5,3 millions.
"C'est d'autant mieux qu'Apple était engagé dans une phase de transition. Sur le premier et le deuxième trimestre nous avons connu une pause dans les ventes puisque nous avions décidé de changer de processeur durant l'année", indique M. Cagni. Depuis janvier, les nouvelles machines sont équipées de puces Intel, plus performantes. Jusqu'alors, Apple utilisait des puces IBM et Freescale.
Surtout, la société californienne a décidé de lancer un logiciel permettant d'utiliser le système d'exploitation de Microsoft - Windows - sur ses ordinateurs. Les utilisateurs de Mac peuvent, selon leur choix, démarrer leur ordinateur sur Mac OS ou sur Windows.
Un revirement stratégique susceptible, selon les analystes, de lui faire gagner des parts de marché. Car, malgré les bons chiffres de vente d'ordinateurs, son positionnement reste faible : environ 3 % du marché, contre 10 % au milieu des années 1980.
Nathalie Brafman
Article paru dans l'édition du 22.10.06
Alerte aux espions dans les labos français
LE MONDE | 25.10.06 | 14h16 • Mis à jour le 25.10.06 | 14h16
Le préfet Rémy Pautrat est en colère. "Dans ce pays, on se préoccupe de sécurité publique dans les banlieues ; mais pas de sécurité économique", s'alarme-t-il. Les pôles de compétitivité, lancés par le gouvernement pour stimuler l'innovation et la recherche françaises, seraient ouverts à tous les vents, au regard et à l'ouïe de concurrents à l'affût.
"C'est dramatique, hallucinant", s'insurge-t-il. Ces pôles comptent tout ce que la France a de meilleur en matière technologique. Et pour cause. Ils ont été sélectionnés sur ce critère d'excellence.
"Il faut se méfier des prédateurs. Or, certains dossiers de labélisation (entreprises et laboratoires y décrivent leurs projets pour être sélectionnés) se sont retrouvés sur Internet. Quand ils ne sont pas restés entassés dans les couloirs des ministères", ajoute l'ancien directeur de la surveillance du territoire (DST) et ex-secrétaire général adjoint de la défense nationale (SGDN). "C'était un encouragement au pillage", constate-t-il.
M. Pautrat est aujourd'hui délégué général de France Intelligence Innovation (FI2), une société de conseil en intelligence économique mi-publique, mi-privée. Ses actionnaires sont l'Agence pour la diffusion de l'information technologique (ADIT) et la Compagnie européenne d'intelligence stratégique (CEIS), créée par un ancien député, Olivier Darrason.
Pourtant, l'intelligence économique figurait bien dans l'un des premiers communiqués sur les pôles de compétitivité, publié en septembre 2004. Un budget de 2 millions d'euros était prévu à cet effet. Mais il semble que les sommes aient été dépensées à d'autres fins.
Daniel Darmon, conseiller auprès du délégué ministériel à l'aménagement et à la compétitivité du territoire (Diact), relativise le problème. "La sécurité globale a été mal prise en compte, reconnaît-il. Mais pas la sécurité des dossiers. Les experts chargés de la sélection avaient signé des clauses de confidentialité."
La vigilance ne semble néanmoins pas avoir été parfaite sur toute la chaîne. "Deux personnes appartenant au conseil de gouvernance d'un pôle se sont révélées avoir été condamnées à des peines de prison pour intelligence avec une puissance étrangère", affirme M. Pautrat. Un chercheur qui travaillait sur de nouvelles molécules se serait fait voler son ordinateur portable, qui contenait des informations cruciales, dans une salle d'attente d'aéroport...
Lors d'une réunion tenue le 20 janvier au ministère de l'intérieur, sous la présidence de Claude Guéant, directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy, le patron de la DST, Pierre de Bousquet de Florian, a confirmé qu'il détenait "un catalogue d'horreurs". L'alerte fut donc donnée. Dans une lettre à son homologue au ministère de l'économie en date du 1er février, M. Guéant annonce que des procédures de sécurité vont être testées dans des pôles.
La question est très délicate. Le contrôle des informations n'est-il pas antinomique avec l'objectif des pôles ? Avec la volonté de faire travailler ensemble des entreprises petites ou grandes, des laboratoires publics et privés, pour faire émerger une meilleure créativité ?
Or ces différentes populations ont des habitudes et des besoins différents en matière de confidentialité. Les grandes entreprises connaissent les risques de l'espionnage économique et leurs équipes sont généralement formées pour y parer ; ce qui n'est guère le cas des petites et moyennes entreprises, qui, elles, craignent surtout de voir leur savoir-faire pillé par les grands groupes avec lesquels elles sont censées travailler. Quant aux chercheurs, baignant dans une culture scientifique internationale, ils ont au contraire intérêt à publier pour être reconnus et promus.
Pour faire passer le message de la prudence, un contrat de formation et de conseil a été confié à FI2, avec un budget de 100 000 euros par pôle, financé à 80 % par l'Etat et 20 % par les pôles eux-mêmes. Onze d'entre eux ont été sélectionnés, parmi lesquels Atlantic Biothérapies (Pays de la Loire) ou Chimie-environnement (Rhône-Alpes).
Les équipes de FI2 leur apprennent à ouvrir l'oeil : telle délégation coréenne ou chinoise ne doit parcourir que des chemins balisés, aucun visiteur ne doit être admis sans montrer patte blanche (récemment, le représentant d'un fonds d'investissement américain fut repéré faisant discrètement son marché dans un pôle francilien).
Mais l'essentiel est sans doute d'établir la confiance au sein de ces entités entre les différents partenaires en mettant en place des règles de fonctionnement.
Les informations doivent, par exemple, être étiquetées au fur et à mesure de leur élaboration, selon leur nature : "critiques", si elles ne doivent être partagées avec personne, "sensibles", quand elles peuvent être partagées sous condition, et "ouvertes", quand elles peuvent être diffusées sans contrainte.
Mais certaines informations qualifiées de sensibles au sein du pôle peuvent devenir "critiques" à l'extérieur. Des logiciels sont en cours d'élaboration pour automatiser cette indexation, actuellement effectuée à la main.
Au pôle Atlantic Biothérapies de Nantes et Angers, Christophe Angot, nouvellement nommé "correspondant en sécurité économique", a commencé de prêcher la bonne parole : plus question de partir à l'étranger avec des dossiers contenant des informations critiques non cryptées. Interdit aussi de trop parler dans le TGV ou de laisser traîner des cahiers de laboratoire sur les paillasses.
Ces opérations pilotes vont permettre d'élaborer un guide de bonnes pratiques d'ici à la fin du mois de novembre.
Annie Kahn
Article paru dans l'édition du 26.10.06
Alerte aux espions...
C'est effectivement un problème pour les Entreprises de haute et très haute technologie, et depuis longtemps ça ne se limite pas au militaire !
Depuis pas mal d'années se sont multipliés les programmes de recherche en coopération, transnationaux, Européens, régionaux, interrégionaux, pole de compétence dernièrement,...
Du coup, les gouvernements successifs, des états européens en particulier, attribuent préférentiellement les crédits de recherche industriels aux projets qui peuvent être "labellisés" dans le cadre de l'une ou l'autre de ces organisations. Ces projets pour être présentables doivent rassembler des partenaires de divers pays et horizons. Les Entreprises sont obligées de déposer des dossiers de plus en plus volumineux et détaillés et d'en raconter plus qu'elles ne voudraient sur leurs recherches afin que les dossiers soient "attractifs". La sélection ne se limite pas au dossier, elle s'accompagne de visites des "zautorités" accompagnées de plein de personnages qui n'ont pas les yeux dans les poches...
Du coup on se pose de plus en plus de questions avant de s'engager dans ce genre de "machin", d'autant plus que, règlement du Commerce International oblige, le taux de financement des projets ne cesse de baisser.
Est-ce que ça vaut le coup de dépenser énormément de temps et donc d'argent pour déposer un dossier pour avoir peut-être 10% du financement d'un programme... c.a.d. peut-être moins que ça aura coûté ?
Est-ce qu'on expose dans ce type de contexte ses meilleures idées et ses développements les plus prometteurs ?
La réponse est non et en pratique chacun s'efforce de garder ses "bijoux de famille" chez soi, et du coup les plus malins ne mettent dans gros "machins" que des sujets "bateaux" qui ne leur font pas courir de risque d'être piratés. Et, vilain petit secret, ce ne sont pas les meilleurs qu'on affecte à ces projets....
Les grosses institutions n'y voient que du feu, du moment qu'il y a un épais rapport à la fin et une belle présentation du type "powerpoint engineering" lors de la grande messe annuelle de la Commission Européenne ou du Conseil Régional ou du Comité Théodule... tout est OK pour elles.
Ceux qui jouent le jeu à fond ou qui ont vraiment besoin de ces crédits pour avancer courent effectivement de gros risques d'être piratés !
C'est effectivement un problème pour les Entreprises de haute et très haute technologie, et depuis longtemps ça ne se limite pas au militaire !
Depuis pas mal d'années se sont multipliés les programmes de recherche en coopération, transnationaux, Européens, régionaux, interrégionaux, pole de compétence dernièrement,...
Du coup, les gouvernements successifs, des états européens en particulier, attribuent préférentiellement les crédits de recherche industriels aux projets qui peuvent être "labellisés" dans le cadre de l'une ou l'autre de ces organisations. Ces projets pour être présentables doivent rassembler des partenaires de divers pays et horizons. Les Entreprises sont obligées de déposer des dossiers de plus en plus volumineux et détaillés et d'en raconter plus qu'elles ne voudraient sur leurs recherches afin que les dossiers soient "attractifs". La sélection ne se limite pas au dossier, elle s'accompagne de visites des "zautorités" accompagnées de plein de personnages qui n'ont pas les yeux dans les poches...
Du coup on se pose de plus en plus de questions avant de s'engager dans ce genre de "machin", d'autant plus que, règlement du Commerce International oblige, le taux de financement des projets ne cesse de baisser.
Est-ce que ça vaut le coup de dépenser énormément de temps et donc d'argent pour déposer un dossier pour avoir peut-être 10% du financement d'un programme... c.a.d. peut-être moins que ça aura coûté ?
Est-ce qu'on expose dans ce type de contexte ses meilleures idées et ses développements les plus prometteurs ?
La réponse est non et en pratique chacun s'efforce de garder ses "bijoux de famille" chez soi, et du coup les plus malins ne mettent dans gros "machins" que des sujets "bateaux" qui ne leur font pas courir de risque d'être piratés. Et, vilain petit secret, ce ne sont pas les meilleurs qu'on affecte à ces projets....
Les grosses institutions n'y voient que du feu, du moment qu'il y a un épais rapport à la fin et une belle présentation du type "powerpoint engineering" lors de la grande messe annuelle de la Commission Européenne ou du Conseil Régional ou du Comité Théodule... tout est OK pour elles.
Ceux qui jouent le jeu à fond ou qui ont vraiment besoin de ces crédits pour avancer courent effectivement de gros risques d'être piratés !
Claude
- Christian Robin
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- Inscription : 10 juin 2005, 12:13
- Localisation : V7 Triathlon Côte d'Amour /La Turballe
Oh, Jacques Attali... L'Attila qui fait table rase de la révolution prolétarienne... ! Dans son Marx ou l'esprit du monde, il démontre, citations à l'appui, que jamais Marx n'a souhaité de révolution, mais qu'au contraire, il a prôné l'arrivée au pouvoir du prolétariat par les voies du parlementarisme...
Les nanos tubes ma sont plus impénétrables que les coffres de la BERD* pour Jacques Attali
*Banque Européenne de Reconstruction et de Développement.
Les nanos tubes ma sont plus impénétrables que les coffres de la BERD* pour Jacques Attali
*Banque Européenne de Reconstruction et de Développement.
le husky
Encore plus imbitables, puisque c'est écrit en "légal", par le Service Juridique des Entreprises, et que ça fait partie des gros dossiers à déposer. C'est déjà une corvée à faire en Europe, je n'ose pas imaginer ce que ça devient en Amérique, patrie non plus des cow boys mais des avocats !
Et de plus, pour continuer dans le politiquement incorrect, ces "accords de confidentialité" sont très mal respectés de ce côté de l'Atlantique, et je n'ai jamais entendu parler de plaintes et encore moins de sanction... Je crois que du côté US ou il y a un avocat planqué derrière chaque armoire c'est peut être plus dissuasif...
Claude
Et de plus, pour continuer dans le politiquement incorrect, ces "accords de confidentialité" sont très mal respectés de ce côté de l'Atlantique, et je n'ai jamais entendu parler de plaintes et encore moins de sanction... Je crois que du côté US ou il y a un avocat planqué derrière chaque armoire c'est peut être plus dissuasif...
Claude
Claude
Obtus...
Richie,
Allez, t'as raison, puisque tu en as décidé ainsi et que cela te fait plaisir sûrement.
Continue à lire, à ingurgiter, mais surtout pas à écouter lors d'échanges réels.
Pour ma part, pas le courage de me prendre la tête à tenter de convaincre un obtus... J'ai autre chose à faire.
Continue, tu es sur la bonne voie...
Allez, t'as raison, puisque tu en as décidé ainsi et que cela te fait plaisir sûrement.
Continue à lire, à ingurgiter, mais surtout pas à écouter lors d'échanges réels.
Pour ma part, pas le courage de me prendre la tête à tenter de convaincre un obtus... J'ai autre chose à faire.
Continue, tu es sur la bonne voie...
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- - Djé - Jérôme -
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J'ai envie de relancer ce post un peu

Je pense que Richie attends bcp de nouvelle des "nano"...
En attendant ya ça :
http://www.notre-planete.info/actualite ... hp?id=1083
(info parue début Janvier... les recherches doivent être avançé pas mal)
Enfin bon, ne snifez pas de trop près votre cadre, ça pourrait être dangeureux.
Des chercheurs du CNRS(1) vont étudier la toxicité des nanotubes de carbone pendant trois ans, dans le cadre d'un projet de l'Agence nationale de la recherche. Trois thématiques seront abordées : le caractère polluant des nanotubes et notamment la toxicité pour la faune ; la toxicité pour l'homme ; la façon de rendre la synthèse des nanotubes plus propre. La thématique "écotoxcicité" n'a encore jamais été abordée, malgré les quantités croissantes de nanotubes employés dans l'industrie.
Qu'est ce qu'un nanotube de carbone ?
Les nanotubes de carbone, découverts en 1991, forment l'un des quatre états organisés connus du carbone sur Terre, avec le graphite, le diamant et les fullerènes (molécules en forme de ballons de football). Ils sont formés d'une ou plusieurs parois concentriques où les atomes de carbone sont organisés en réseaux d'hexagones. Leurs dimensions vont de quelques microns à quelques dizaines de microns de longueur et leur diamètre est inférieur à quelques nanomètres. Ils sont employés dans diverses applications, principalement pour leurs propriétés mécaniques et électriques.
Les nanotubes de carbone envahissent le quotidien
La production mondiale de nanotubes de carbone atteint aujourd'hui plusieurs centaines de tonnes par an : ils sont présents dans les écrans plats, les pneumatiques, l'industrie automobile (Renault et Peugeot expérimentent des nanotubes de carbone en renfort des pièces de carrosserie), les articles de sport (le premier cadre de vélo comportant des nanotubes de carbone concourrait au dernier tour de France)... Cependant, l'étude des effets sur la santé humaine est encore très embryonnaire et leur impact sur l'environnement demeure à ce jour quasiment inexploré.
Quatre laboratoires de recherche, dont deux du CNRS(1), se sont associés pour étudier l'influence des nanotubes de carbone sur l'environnement et la santé humaine dans le cadre d'un projet de recherche de l'Agence nationale de la recherche. Ce projet, qui vient de démarrer, durera trois ans. Il sera doté d'un budget de 300 000 euros et bénéficiera de la participation d'une vingtaine de chercheurs et ingénieurs répartis dans les quatre laboratoires impliqués. Il est coordonné par Emmanuel Flahaut, chercheur CNRS dans l'équipe Nanocomposites et nanotubes de carbone, au CIRIMAT (Centre inter-universitaire de recherche et d'ingénierie des matériaux de Toulouse, CNRS/Université Toulouse 3/INP Toulouse).
Le projet comporte trois volets :
- L'impact environnemental : ce volet est le plus innovant, car la question n'a encore jamais été étudiée. Une fois utilisés, les objets contenant des nanotubes de carbone sont jetés dans des décharges et les nanotubes risquent de polluer l'environnement. Les recherches porteront principalement sur le milieu aquatique, où se concentre la pollution. Les chercheurs vont mettre des amphibiens en contact avec des suspensions de nanotubes, pour étudier leur toxicité aiguë (mortalité, modifications comportementales) et leur génotoxicité (altération du patrimoine génétique). Une thèse est en cours sur ce sujet, montrant de la mortalité (uniquement chez l'une des deux espèces étudiées). Toutefois, les conditions de test devront être redéfinies avant de conclure de façon définitive. Cette thèse fait suite à des études in vitro de cytotoxicité (toxicité cellulaire) en collaboration avec le laboratoire Biomatériaux et réparation tissulaire (INSERM/Université Bordeaux 2). Ces études ont montré la nécessité de faire la part entre la toxicité intrinsèque des nanotubes, en fonction de leurs caractéristiques (dimensions, nombre de parois), et celle des traces de catalyseur métallique qui peuvent rester dans les échantillons.
- La santé humaine : les chercheurs examineront in vitro l'interaction des nanotubes de carbone avec les macrophages humains mais aussi in vivo au niveau pulmonaire chez la souris, en collaboration avec le laboratoire Macrophages, médiateurs de l'inflammation et interactions cellulaires (Université Toulouse 3), pour savoir si l'inhalation de nanotubes provoque des réactions inflammatoires. En mélangeant des nanotubes à du plasma et du sérum humain, E. Flahaut et ses collaborateurs de l'Université d'Oxford(2) ont déjà mis en évidence l'adsorption de certaines protéines sur des nanotubes de carbone : ces derniers pourraient alors être reconnus comme des éléments étrangers et donc provoquer une réaction d'inflammation, mais ce marquage pourrait aussi ouvrir la porte à des applications médicales comme par exemple l'amélioration de l'efficacité des vaccins.
- La synthèse des nanotubes de carbone : les chercheurs étudieront les moyens de la rendre plus « propre » et notamment de réduire les rejets gazeux.
D'autre part, les chercheurs du CIRIMAT travaillent également sur le remplissage des nanotubes de carbone avec des matériaux magnétiques pour le traitement du cancer par thermothérapie. Ces recherches s'inscrivent dans le cadre d'un programme de recherche Marie Curie, avec 8 partenaires de 5 pays européens(3).
Notes
1) Centre inter-universitaire de recherche et d'ingénierie des matériaux de Toulouse (CNRS/Université Toulouse 3/INP Toulouse), équipe Nanocomposites et nanotubes de carbones, et Laboratoire d'écologie des hydrosystèmes (CNRS/Université Toulouse 3), en collaboration avec le laboratoire Biomatériaux et réparation tissulaire (INSERM/Université Bordeaux 2) et le laboratoire Macrophages, médiateurs de l'inflammation et interactions cellulaires (Université Toulouse 3)
2) Immunochemistry Unit, Department de Biochimie, Université d'Oxford
3) Projet Carbio (http://www.carbio.eu), avec la participation d'équipes en Allemagne, Autriche, France, Grande-Bretagne, Pays-bas, Pologne.
Le site du groupement de recherches sur les nanotubes du CNRS :
http://www.cnrs-imn.fr/GDRE_NanoE/
@+
J.
- Richie
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Exactement, Floyd LANDIS roulant sur le "1er" (dans le temps) vélo utilisant la technologie "nano" (BMC + Easton +Zyvex) et ayant gagné sur le terrain le TDF 2006, voici une "nouvelle "défense potentielle, contre les accusations "injustes" de dopage :PLUDJAMB a écrit :est-ce-que le cycliste équipé de schibilibili nanotubes doit toujours pédaler pour avancer ?
Les "substances" retrouvées dans ses urines proviennent des effets de sa transpiration sur le cadre (l'effet de la transpiration et ses légendes : cadre "soudé" sur le home trainer).

C'est bien connu, la transpiration "fusille" les cadres.
Donc, de cette réaction chimique, il a dans le cadre de ventilation d'effort, absorber sans le savoir des "nano particules - poussières de carbone" (d'où le coté exogène aux substances retrouvées), lesquelles ont généré chez lui en réaction une production de tétostérone "transformée" et inhabituelle.
C'est "magique" : plus il force, plus il transpire, donc plus il va vite, donc :d'où sa longue chevauchée fantastique en montagne

Pas mal, hein

Une petite expertise, il gagne un an de répit

Cela tient autant la route que les steacks aux hormones de Spencer Smith, ou autres régimes diététiques, ou barres céréalières enrichies à la nandrolone
