IM Floride 2008
Re: IM Floride 2008
Avant de commencer ce compte rendu, je voudrais remercier, pour leur gentillesse et leur disponibilité tout le groupe d'Hannes Hawaii Tour (Hannes, Gaël, Andréas, Stéphane...) qui nous on fait passer un séjour inoubliable à Panama City Beach (Floride).
Merci et bravo également à tous les autres français qui étaient du voyage (Didier, Phillipe, Jean Michel et sa compagne, Trévor, Cyril, Eric et Aline et les autres...) avec qui je garderai en mémoire tous les mots d’encouragements pour la suite.
Place maintenant au résumé de la course :
Le jour-J, (1er novembre) il est 4h00 lorsque nous nous levons avec Chris. Nous préparons nos dernières affaires tranquillement. Mes gestes me semblent avoir un goût de déjà vu, je sens déjà une belle et grande journée, je ne peux l'expliquer mais mes sensations sont excellentes ce matin.
Le petit déj' se fait sans stress et même dans la rigolade !! Chris a une patate d'enfer et mets une ambiance dans l'appartement qui décontracte tout le monde. Vanessa et mon beau-père se préparent aussi à cet évènement majeur.
Nous nous dirigeons maintenant vers le parc à vélo où il y a déjà pas mal de monde qui s'agglutine pour le marquage et le dépôt des poches. Je vais vérifier une dernière fois mes sacs de transitions, et mon vélo afin de ne pas avoir de surprises dans la course. L'heure approche, j'enfile ma combinaison avec une fois de plus des gestes précis. Je me concentre de plus en plus et arrive, je ne sais comment, à ne plus qu'entendre une seule voie en moi qui me guide.
6h50 le départ des pros, je retrouve Chris et d'autres français, je suis heureux d'être là, je sais que tout a été fait, qu'il n'y a plus qu'a !!!
Je suis bien placé devant l'énorme masse de 2500 triathlètes qui vont en découdre toute la journée.
Le coup de canon retentit à 7h00 pile et pour moi c'est enfin la délivrance, le soulagement. Je pars donc vite pour éviter un maximum de coups et pour me placer dans de bons pieds. C’est la bataille pour les meilleures places, ça « frotte » sec et j’arrive à trouver une allure de croisière qui me permets de ne pas trop m’exploser dans cette longue partie natatoire. Sortie de l’eau à l’australienne à mi course (1900m) et là c’est l’euphorie, on entend hurler de partout des encouragements dans plusieurs langues, ça motive !
Je repars donc pour seconde boucle, mais là plus calmement car il faut gérer tout le temps. Sur les dernières minutes de nage, je commence à saturer un peu, il me tarde de me retrouver sur le vélo.
Je sors donc en 56’34’’ en 37ème position de GA (89ème avec les pros), je suis un peu lent à la T1 (1ère transition en 3’45’’) mais repars bien motivé pour les 180km.
En démarrant, je sens que mes manchettes me serviront car la température est un peu fraîche ce matin, il est 8h donc pas d’affolement. Je commence à doubler dès les premiers kilomètres et sens que mes jambes sont correctes pour le moment. Beaucoup de monde m’avait dit qu’il y aurait de gros peloton dès le km20 et là, je suis seul à doubler et derrière ça n’accroche pas ou presque ! Bref, je fais ma course sans me soucier des détails extérieurs. Les km défilent et la température monte petit à petit, ce qui m’annonce une belle journée pour la suite.
Je suis bien, évite les mouvements parasites et espère que ça tienne encore longtemps. Je passe au temps intermédiaire avec une moyenne de 36km/h et il reste 39 miles. Ce dernier tronçon va être de la folie car le vent est bien plus favorable pour réaliser une belle moyenne. Cette dernière partie se fera à 39km/h !!
L’arrivée devient de plus en plus dure. Le vent souffle de face et ça commence à durcir les cuisses. Je me pose des questions à savoir si je ne me suis pas trop donné sur le vélo et si je ne risque pas d’exploser…4h48’55’’
La T2 se passe à vive allure (1’54’’), j’essaie de ne pas perdre trop de temps afin d’avoir le minimum d’écart. Je suis encouragé comme si j’étais en tête de la course. A ce moment, je suis en 29ème position au scratch et 4ème des 35-39 avec un écart de 5’ sur le premier de mon GA.
Je ne m’enflamme pas car le marathon va être long et ça serait dommage de tout ruiner sur des efforts inutiles.
Premier passage en moins de 42’ sur les 10,5km et je suis déjà remonté à la 2ème place. Tout me semble parfait, sauf mon allure qui est trop rapide. Je calme un peu sur le retour et double le suisse au km20 qui était en tête jusqu’à présent. Le « turning point » annonce l’entame du second semi marathon. Je comprend que c’est à partir de maintenant que la course va se jouer. Je me concentre sur tous les petits conseils que l’on m’a apporté et qui s’avèrent efficace. J’essaie de m’économiser pour un éventuel retour de l’arrière car la course n’est pas encore acquise !!
Je double de nombreux pros partis 10’ plus tôt qui sont vraiment « cuits ». J’ai encore de bons appuis, souples, posés et propres à l’approche du dernier demi tour.
Je continu mon chemin, je ne sais pas où je suis au général, mais j’ai pu voir qu’il n’y avait plus de dossards bleu devant moi, c’est-à-dire, que je suis en tête chez les amateurs !!!!
37ème km, ça sent la fin, mon chrono m’annonce que je vais peut-être casser la barre des 9h s’il ne m’arrive rien !
A trois km de l’arrivée, j’y crois, je repense à toutes ces heures d’entraînements, de sacrifices (sans voir ma famille) au soutien de mes proches, à mon grand-père et à Stéphane partis trop tôt, et enfin à mon rêve de gamin vieux de 20 ans : HAWAII.
Des larmes de joie et de douleur coulent sur mes joues, je lâche tout dans le dernier kil’, Vanessa me tend le drapeau français et j’exulte sur mes derniers mètres ! Mon marathon a été covert en 3h02'25''.
Je finis 17ème et 1er de tous les groupes d’âges (premier amateur) en 8h53’30’’.
Depuis cette arrivée, je ne me rend pas encore de ce que j’ai fait. Je voulais faire un « truc » avec juste un slot pour la finale, j’en ai eu 20 fois plus !!
Tout simplement MERCI à tous !
Merci et bravo également à tous les autres français qui étaient du voyage (Didier, Phillipe, Jean Michel et sa compagne, Trévor, Cyril, Eric et Aline et les autres...) avec qui je garderai en mémoire tous les mots d’encouragements pour la suite.
Place maintenant au résumé de la course :
Le jour-J, (1er novembre) il est 4h00 lorsque nous nous levons avec Chris. Nous préparons nos dernières affaires tranquillement. Mes gestes me semblent avoir un goût de déjà vu, je sens déjà une belle et grande journée, je ne peux l'expliquer mais mes sensations sont excellentes ce matin.
Le petit déj' se fait sans stress et même dans la rigolade !! Chris a une patate d'enfer et mets une ambiance dans l'appartement qui décontracte tout le monde. Vanessa et mon beau-père se préparent aussi à cet évènement majeur.
Nous nous dirigeons maintenant vers le parc à vélo où il y a déjà pas mal de monde qui s'agglutine pour le marquage et le dépôt des poches. Je vais vérifier une dernière fois mes sacs de transitions, et mon vélo afin de ne pas avoir de surprises dans la course. L'heure approche, j'enfile ma combinaison avec une fois de plus des gestes précis. Je me concentre de plus en plus et arrive, je ne sais comment, à ne plus qu'entendre une seule voie en moi qui me guide.
6h50 le départ des pros, je retrouve Chris et d'autres français, je suis heureux d'être là, je sais que tout a été fait, qu'il n'y a plus qu'a !!!
Je suis bien placé devant l'énorme masse de 2500 triathlètes qui vont en découdre toute la journée.
Le coup de canon retentit à 7h00 pile et pour moi c'est enfin la délivrance, le soulagement. Je pars donc vite pour éviter un maximum de coups et pour me placer dans de bons pieds. C’est la bataille pour les meilleures places, ça « frotte » sec et j’arrive à trouver une allure de croisière qui me permets de ne pas trop m’exploser dans cette longue partie natatoire. Sortie de l’eau à l’australienne à mi course (1900m) et là c’est l’euphorie, on entend hurler de partout des encouragements dans plusieurs langues, ça motive !
Je repars donc pour seconde boucle, mais là plus calmement car il faut gérer tout le temps. Sur les dernières minutes de nage, je commence à saturer un peu, il me tarde de me retrouver sur le vélo.
Je sors donc en 56’34’’ en 37ème position de GA (89ème avec les pros), je suis un peu lent à la T1 (1ère transition en 3’45’’) mais repars bien motivé pour les 180km.
En démarrant, je sens que mes manchettes me serviront car la température est un peu fraîche ce matin, il est 8h donc pas d’affolement. Je commence à doubler dès les premiers kilomètres et sens que mes jambes sont correctes pour le moment. Beaucoup de monde m’avait dit qu’il y aurait de gros peloton dès le km20 et là, je suis seul à doubler et derrière ça n’accroche pas ou presque ! Bref, je fais ma course sans me soucier des détails extérieurs. Les km défilent et la température monte petit à petit, ce qui m’annonce une belle journée pour la suite.
Je suis bien, évite les mouvements parasites et espère que ça tienne encore longtemps. Je passe au temps intermédiaire avec une moyenne de 36km/h et il reste 39 miles. Ce dernier tronçon va être de la folie car le vent est bien plus favorable pour réaliser une belle moyenne. Cette dernière partie se fera à 39km/h !!
L’arrivée devient de plus en plus dure. Le vent souffle de face et ça commence à durcir les cuisses. Je me pose des questions à savoir si je ne me suis pas trop donné sur le vélo et si je ne risque pas d’exploser…4h48’55’’
La T2 se passe à vive allure (1’54’’), j’essaie de ne pas perdre trop de temps afin d’avoir le minimum d’écart. Je suis encouragé comme si j’étais en tête de la course. A ce moment, je suis en 29ème position au scratch et 4ème des 35-39 avec un écart de 5’ sur le premier de mon GA.
Je ne m’enflamme pas car le marathon va être long et ça serait dommage de tout ruiner sur des efforts inutiles.
Premier passage en moins de 42’ sur les 10,5km et je suis déjà remonté à la 2ème place. Tout me semble parfait, sauf mon allure qui est trop rapide. Je calme un peu sur le retour et double le suisse au km20 qui était en tête jusqu’à présent. Le « turning point » annonce l’entame du second semi marathon. Je comprend que c’est à partir de maintenant que la course va se jouer. Je me concentre sur tous les petits conseils que l’on m’a apporté et qui s’avèrent efficace. J’essaie de m’économiser pour un éventuel retour de l’arrière car la course n’est pas encore acquise !!
Je double de nombreux pros partis 10’ plus tôt qui sont vraiment « cuits ». J’ai encore de bons appuis, souples, posés et propres à l’approche du dernier demi tour.
Je continu mon chemin, je ne sais pas où je suis au général, mais j’ai pu voir qu’il n’y avait plus de dossards bleu devant moi, c’est-à-dire, que je suis en tête chez les amateurs !!!!
37ème km, ça sent la fin, mon chrono m’annonce que je vais peut-être casser la barre des 9h s’il ne m’arrive rien !
A trois km de l’arrivée, j’y crois, je repense à toutes ces heures d’entraînements, de sacrifices (sans voir ma famille) au soutien de mes proches, à mon grand-père et à Stéphane partis trop tôt, et enfin à mon rêve de gamin vieux de 20 ans : HAWAII.
Des larmes de joie et de douleur coulent sur mes joues, je lâche tout dans le dernier kil’, Vanessa me tend le drapeau français et j’exulte sur mes derniers mètres ! Mon marathon a été covert en 3h02'25''.
Je finis 17ème et 1er de tous les groupes d’âges (premier amateur) en 8h53’30’’.
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Tout simplement MERCI à tous !
Il n'y a pas d'homme fort, mais que des hommes entraînés !!
http://ptitbecville.miniville.fr/
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- Messages : 536
- Inscription : 14 sept. 2008, 17:36
Re: IM Floride 2008
chapeau bas petibec, t'es un homme maintenant !!!
tu récoltes ce que tu as semé...je te l'avais bien dis que tu étais impressionnant.
tu récoltes ce que tu as semé...je te l'avais bien dis que tu étais impressionnant.
Re: IM Floride 2008
Félicitations 

Optimiser votre position vélo ?
http://www.velofitting.com
Il n'y a pas de chemin vers le bonheur, le chemin est le bonheur.
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Re: IM Floride 2008
Bravo pour ta course et merci pour le cr, superbe perf 

- koukoukouk
- Messages : 8937
- Inscription : 10 avr. 2006, 10:54
- Localisation : au mont ventoux avec toi
Re: IM Floride 2008
minable 

Re: IM Floride 2008
Salut Ptitbec,Ptitbec a écrit :Avant de commencer ce compte rendu, je voudrais remercier, pour leur gentillesse et leur disponibilité tout le groupe d'Hannes Hawaii Tour (Hannes, Gaël, Andréas, Stéphane...) qui nous on fait passer un séjour inoubliable à Panama City Beach (Floride).
Merci et bravo également à tous les autres français qui étaient du voyage (Didier, Phillipe, Jean Michel et sa compagne, Trévor, Cyril, Eric et Aline et les autres...) avec qui je garderai en mémoire tous les mots d’encouragements pour la suite.
Place maintenant au résumé de la course :
Le jour-J, (1er novembre) il est 4h00 lorsque nous nous levons avec Chris. Nous préparons nos dernières affaires tranquillement. Mes gestes me semblent avoir un goût de déjà vu, je sens déjà une belle et grande journée, je ne peux l'expliquer mais mes sensations sont excellentes ce matin.
Le petit déj' se fait sans stress et même dans la rigolade !! Chris a une patate d'enfer et mets une ambiance dans l'appartement qui décontracte tout le monde. Vanessa et mon beau-père se préparent aussi à cet évènement majeur.
Nous nous dirigeons maintenant vers le parc à vélo où il y a déjà pas mal de monde qui s'agglutine pour le marquage et le dépôt des poches. Je vais vérifier une dernière fois mes sacs de transitions, et mon vélo afin de ne pas avoir de surprises dans la course. L'heure approche, j'enfile ma combinaison avec une fois de plus des gestes précis. Je me concentre de plus en plus et arrive, je ne sais comment, à ne plus qu'entendre une seule voie en moi qui me guide.
6h50 le départ des pros, je retrouve Chris et d'autres français, je suis heureux d'être là, je sais que tout a été fait, qu'il n'y a plus qu'a !!!
Je suis bien placé devant l'énorme masse de 2500 triathlètes qui vont en découdre toute la journée.
Le coup de canon retentit à 7h00 pile et pour moi c'est enfin la délivrance, le soulagement. Je pars donc vite pour éviter un maximum de coups et pour me placer dans de bons pieds. C’est la bataille pour les meilleures places, ça « frotte » sec et j’arrive à trouver une allure de croisière qui me permets de ne pas trop m’exploser dans cette longue partie natatoire. Sortie de l’eau à l’australienne à mi course (1900m) et là c’est l’euphorie, on entend hurler de partout des encouragements dans plusieurs langues, ça motive !
Je repars donc pour seconde boucle, mais là plus calmement car il faut gérer tout le temps. Sur les dernières minutes de nage, je commence à saturer un peu, il me tarde de me retrouver sur le vélo.
Je sors donc en 56’34’’ en 37ème position de GA (89ème avec les pros), je suis un peu lent à la T1 (1ère transition en 3’45’’) mais repars bien motivé pour les 180km.
En démarrant, je sens que mes manchettes me serviront car la température est un peu fraîche ce matin, il est 8h donc pas d’affolement. Je commence à doubler dès les premiers kilomètres et sens que mes jambes sont correctes pour le moment. Beaucoup de monde m’avait dit qu’il y aurait de gros peloton dès le km20 et là, je suis seul à doubler et derrière ça n’accroche pas ou presque ! Bref, je fais ma course sans me soucier des détails extérieurs. Les km défilent et la température monte petit à petit, ce qui m’annonce une belle journée pour la suite.
Je suis bien, évite les mouvements parasites et espère que ça tienne encore longtemps. Je passe au temps intermédiaire avec une moyenne de 36km/h et il reste 39 miles. Ce dernier tronçon va être de la folie car le vent est bien plus favorable pour réaliser une belle moyenne. Cette dernière partie se fera à 39km/h !!
L’arrivée devient de plus en plus dure. Le vent souffle de face et ça commence à durcir les cuisses. Je me pose des questions à savoir si je ne me suis pas trop donné sur le vélo et si je ne risque pas d’exploser…4h48’55’’
La T2 se passe à vive allure (1’54’’), j’essaie de ne pas perdre trop de temps afin d’avoir le minimum d’écart. Je suis encouragé comme si j’étais en tête de la course. A ce moment, je suis en 29ème position au scratch et 4ème des 35-39 avec un écart de 5’ sur le premier de mon GA.
Je ne m’enflamme pas car le marathon va être long et ça serait dommage de tout ruiner sur des efforts inutiles.
Premier passage en moins de 42’ sur les 10,5km et je suis déjà remonté à la 2ème place. Tout me semble parfait, sauf mon allure qui est trop rapide. Je calme un peu sur le retour et double le suisse au km20 qui était en tête jusqu’à présent. Le « turning point » annonce l’entame du second semi marathon. Je comprend que c’est à partir de maintenant que la course va se jouer. Je me concentre sur tous les petits conseils que l’on m’a apporté et qui s’avèrent efficace. J’essaie de m’économiser pour un éventuel retour de l’arrière car la course n’est pas encore acquise !!
Je double de nombreux pros partis 10’ plus tôt qui sont vraiment « cuits ». J’ai encore de bons appuis, souples, posés et propres à l’approche du dernier demi tour.
Je continu mon chemin, je ne sais pas où je suis au général, mais j’ai pu voir qu’il n’y avait plus de dossards bleu devant moi, c’est-à-dire, que je suis en tête chez les amateurs !!!!
37ème km, ça sent la fin, mon chrono m’annonce que je vais peut-être casser la barre des 9h s’il ne m’arrive rien !
A trois km de l’arrivée, j’y crois, je repense à toutes ces heures d’entraînements, de sacrifices (sans voir ma famille) au soutien de mes proches, à mon grand-père et à Stéphane partis trop tôt, et enfin à mon rêve de gamin vieux de 20 ans : HAWAII.
Des larmes de joie et de douleur coulent sur mes joues, je lâche tout dans le dernier kil’, Vanessa me tend le drapeau français et j’exulte sur mes derniers mètres ! Mon marathon a été covert en 3h02'25''.
Je finis 17ème et 1er de tous les groupes d’âges (premier amateur) en 8h53’30’’.
Depuis cette arrivée, je ne me rend pas encore de ce que j’ai fait. Je voulais faire un « truc » avec juste un slot pour la finale, j’en ai eu 20 fois plus !!
Tout simplement MERCI à tous !
Pas mal du tout le compte rendu. Ca rappel des bons souvenirs.
Je te souhaite une bonne préparation pour Hawaii et aux français qui se sont qualifiés.
Par contre je prendrai ma revanche

Allez bonne fin de week prolongé.

Re: IM Floride 2008
http://www.ironmanflorida.com/index.php ... =320&h=260" onclick="window.open(this.href);return false;
Optimiser votre position vélo ?
http://www.velofitting.com
Il n'y a pas de chemin vers le bonheur, le chemin est le bonheur.
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Re: IM Floride 2008
Le 1er à T2, on lui donne son sac, et les autres, faut qu'ils aillent se le chercher... 

Vincent...
Re: IM Floride 2008
J'ai mis aussi la vidéo parce qu'on voit bien Christophe.
Et Vabrousek aussi quand il le double
Et Vabrousek aussi quand il le double
Optimiser votre position vélo ?
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