chamach a écrit :
Hum, l'innovation permet d'avaler les "autres" (comme je le disais) ou de "résister" : en comparant Apple et Microsoft, tu confirmes mes propos, car tu compares à un moment "T" en terme de taille une "nano boîte" (APPLE) contre une déjà un très grosse multinationale déjà installée en un temps record (Microsoft via son système d’installation, et qui surtout au début avait le soutien d’IBM qui n’a pas cru au Software et a laissé passer le bon filon : erreur stratégique).
La « copie », l’inspiration c’est très courant…(voir second article), seule l’innovation permanente permet de « résister ».
Quant à l’utilisation du terme " NANO " par APPLE, ils ont pigé chez Apple. Ils ont été les premiers à communiquer là dessus, et voilà les résultats (je me souviens de la présentation où Steve JOBS l’avait dans sa poche de pantalon et il était " invisible "). Creative a suivi avec le « Zen NANO plus » dans le nom : cela nano cogite, et veut nano vendre, sur le mot « nano » ! Les autres « suivent »…(voir article : « Quand l’Ipod nano nano inspire la concurrence » ci-dessous.
Cap Gemini, toujours dans l’innovation vient d’acheter en Inde une « petite » boîte financière (grosse en personnel) cette semaine, pour pouvoir selon les dires du DG (Paul Hermelin) continuer à pouvoir « innover » donc survivre. La Chine et l’Inde produisent des Ingénieurs et scientifiques à la chaîne et coûtent beaucoup beaucoup moins chers…
Quant au lecteur le "plus petit",
ce n'est pas moi qui le dit (lol) : voir les deux premiers articles.
Bref, plonge toi dans la lecture de Schumpeter et de ses disciples...
PS : Pour le Shuffle, pas assez « petit » : le symbole de la carte de crédit, c’est une taille référente…(tant qu’il n’était pas ultra « plat », cela n’allait pas en terme de communication d’où l’abandon de cela :
http://members.shaw.ca/ventro2/design/f ... odnano.jpg
3 articles : La concurrence qui suit le NANO d’Apple, le renouveau d'Apple, l'espionnage industrielle.
Quand l'iPod Nano inspire la concurrence Didier Sanz . Publié le
04 octobre 2006Actualisé le 04 octobre 2006 : 16h06 Neo Sensi Music et Innovix iPocket.
(DR.)
Neo Sensi Music et Innovix iPocket.
(DR.).
Les lecteurs MP3 qui imitent le produit vedette d'Apple sont parfois plus complets, mais rarement aussi séduisants.
NANO ou pseudo-Nano ? Depuis qu'Apple a lancé son baladeur miniature (9 x 4 cm) extra-plat (6,5 mm) et ultraléger (40 g), quantité de constructeurs ont suivi le mouvement, proposant des lecteurs audios inspirés de l'iPod Nano. De la taille d'une carte de visite, ils tiennent dans la poche, disposent d'un écran couleurs et d'une molette ou de boutons simplifiés pour contrôler la lecture des morceaux. Eux aussi stockent des milliers de chansons dans leur mémoire flash, ainsi que des photos et des mémos, parfois même, des enregistrements audios et des vidéos. Détail amusant : à une exception près (SanDisk Sansa), ils sont tous disponibles... en noir ou en blanc. Comme l'ancien iPod Nano. Maintenant que le baladeur d'Apple arbore des couleurs, ses concurrents vont probablement, eux aussi, se parer de vert, de rose ou de bleu.
Mais il serait réducteur de ne voir dans ces appareils que de pâles copies du premier d'entre eux. Certains sont plus complets, offrant radio FM (désactivée en Europe sur certains appareils) ou enregistreur vocal, alors que le Nano est toujours dépourvu de ces fonctions. D'autres sont plus confortables, équipés d'un grand écran ou d'un emplacement pour ajouter des cartes mémoire. Leur prix s'en ressent parfois : jusqu'à 250 € alors que le Nano coûte de 159 € à 259 € selon sa capacité (de 2 à 8 Go).
Reste un détail d'importance : si tous ces modèles, y compris le Nano, peuvent lire des fichiers MP3, aucun ne pourra reconnaître les fichiers téléchargés sur iTunes Store. La solution : graver sur CD les titres achetés en ligne sur la boutique d'Apple puis les importer dans un deuxième temps sur le baladeur.
D'ailleurs, l'intégration entre le logiciel et le matériel joue un rôle primordial dans le plaisir d'utiliser l'appareil. Avec le Nano, il suffit de lancer iTunes pour faire le plein du baladeur. Avec ses concurrents, il faudra installer le logiciel qui accompagne le produit ou, si le constructeur l'autorise, utiliser Windows Media Player. Heureusement, certains appareils sont reconnus comme disque dur par l'ordinateur, et il est alors possible de transférer les fichiers en faisant simplement glisser leur icône d'un dossier à l'autre. Dans ce cas, le lecteur peut aussi bien être utilisé sur Mac que sur PC.
i-Random MP8 - L'habit ne fait pas le moine
Clone ? Ce baladeur essentiellement vendu en grandes surfaces, ressemble à s'y méprendre à son modèle. Du moins, de loin. Aussi large mais un peu moins haut et plus épais, il est plus léger que le Nano. Son écran est de la même taille, mais il dispose en prime d'un enregistreur vocal. Il lit les fichiers MP3, WAV et WMA, les images JPEG et même les vidéos dans un format particulier. Reste que, hormis la ressemblance, ce baladeur ne soutient pas la comparaison en terme de confort d'utilisation, de finition et de qualité audio comme vidéo... 100 € (1 Go).
Neo Sensi Music - Pour commencer
Nettement inspiré du look des baladeurs d'Apple, ce modèle ultra-léger est plus petit que le Nano (67 x 34 mm). Il offre une fonction dictaphone et des boutons de contrôle sur une surface sensible. Son écran se contente d'afficher deux couleurs (blanc sur fond bleu) dans une résolution assez faible et sa compatibilité se limite aux formats MP3 et WMA. Bref, un produit qui, en raison de ses fonctions basiques et de son petit prix, séduira ceux qui cherchent un baladeur bon marché. 60 € (1 Go) ou 100 € (2 Go).
Innovix iPocket - Copie (presque) conforme
Mêmes dimensions que le Nano (90 x 40 mm) avec quelques millimètres d'épaisseur en plus, une surface en plastique et un dos métallisé... Mais à la place de la molette de l'iPod, on trouve cinq boutons disposés en croix. Et au lieu du connecteur minijack de 3,5 mm, une sortie audio qui oblige à utiliser un adaptateur spécial pour brancher des écouteurs standard ! Équipé d'un enregistreur vocal, il lit les fichiers MP3, WMA et WAV, les photos JPEG et peut servir de mini console de jeux... à condition d'avoir de bons yeux. 80 € (1 Go).
Memup Senso - Peut mieux faire
Seul fabricant français du lot, Memup propose un baladeur élégant et léger avec radio FM et enregistreur vocal, qui sait à la fois lire les fichiers audios (dont le WMA et le WMA protégé), les photos et les vidéos. Ajoutez un écran large (1,8 pouce) et un pavé tactile. Ce qui ne suffit pas à le rendre supérieur à l'iPod Nano. Son boîtier en plastique laisse un impression de fragilité. Seul le format vidéo AMV est reconnu, ce qui oblige à convertir les séquences au moyen du logiciel fourni. Il n'est pas possible de naviguer dans les menus pendant l'écoute une chanson. Enfin, sa capacité se limite à 1 ou 2 Go. 70 € (1 Go) ou 100 € (2 Go).
Samsung YP-Z5 - Champion de l'autonomie
Il dispose d'une fonction dictaphone et son écran est plus grand que celui du Nano (1,8 pouce contre 1,5). Outre les fichiers MP3, il reconnaît les formats WMA et WMA protégés et OGG/Vorbis, ce que ne permet pas le Nano. Selon Samsung, sa batterie garantit une autonomie de lecture de 39 heures. Mais il est aussi plus lourd que le Nano (56 g). Pas de molette de contrôle mais un pavé tactile qui demande un certain apprentissage. Enfin, la saisie des informations et une partie des opérations s'effectuent via le logiciel Samsung Media Studio pour Windows. Le modèle le plus cher de notre sélection. 169 € (2 Go) ou 250 €<(4 Go).
SanDisk Sansa e260 - Une alternative coûteuse
Grand écran très lumineux, boîtier robuste, adaptateur pour cartes mémoires, enregistrement vocal, lecture de photos et de vidéo... C'est sans doute le plus complet (mais aussi l'un des plus chers), sinon le plus abouti des concurrents du Nano. Certes, il est deux fois plus épais (13 mm) et plus lourd (75 g), mais il procure un plaisir d'utilisation qui rappelle celui de l'iPod, en raison notamment de sa molette mécanique et de son interface. Enfin, reconnu comme disque dur, il permet d'échanger les fichiers avec n'importe quel ordinateur. 150 € (2 Go) ou 250 € (4 Go).
LE MONDE | 21.10.06 | 14h33 • Mis à jour le 21.10.06 | 14h33
Après avoir soufflé ses 30 bougies en avril, Apple s'apprête à fêter, lundi 23 octobre, les cinq ans de l'iPod, son célèbre baladeur numérique. Ce lecteur-enregistreur de musique et d'images
est devenu un phénomène de société et a redonné un nouvel élan au groupe américain donné pour mort il y a dix ans.
L'entreprise, présidée par le charismatique Steve Jobs, affiche une santé florissante. Sur son exercice 2005-2006, clos en septembre, son chiffre d'affaires a augmenté de 39 %, à 19,3 milliards de dollars (15,3 milliards d'euros), et son bénéfice net a explosé à 2 milliards de dollars, en hausse de près de 50 %. Son cours, tombé à 50,67 dollars en juillet, approche désormais les 80 dollars.
Le succès de l'iPod ne se dément pas, faisant taire les prédictions selon lesquelles le groupe américain allait voir ses ventes ralentir. Depuis 2001, Apple a vendu 67 millions d'iPod dans le monde et 39 millions rien que sur son dernier exercice. Pourtant les concurrents ne manquent pas : le néerlandais Philips, le japonais Sony, le coréen Samsung et le français Archos qui fut, avec le Juke Box 6 000 (pour 6 000 minutes de musique), l'ancêtre de l'iPod, n'ont qu'une idée en tête : "tuer" l'iPod.
Mais Apple règne sans partage sur la musique. Les ventes de son baladeur numérique sont tirées par le logiciel iTunes, qui permet de se constituer une discothèque sur son ordinateur, de copier des morceaux, des photos et des vidéos sur son iPod et d'écouter des "podcast", ces émissions de radio diffusées via Internet.
Enfin, grâce à son magasin en ligne permettant de télécharger en toute légalité des morceaux, plus de 1,5 milliard de titres - sur un catalogue en proposant plus de 3 millions - ont été achetés depuis sa création, en avril 2003. Aujourd'hui, iTunes Music Store détient près de 80 % des ventes mondiales de musique en ligne et 75 % du marché mondial des baladeurs à disque dur.
DE NOMBREUSES INNOVATIONS
Pour asseoir sa domination, Apple a multiplié les innovations et proposé un produit meilleur marché en lançant l'iPod Shuffle. Car ce sont avant tout les petits baladeurs à faible capacité (mémoire flash) et à bas prix que s'arrachent les consommateurs.
Sur ce marché, les ventes de tous les fabricants ont été multipliées par quatre entre 2004 et 2005, passant de 37 millions à 128 millions. Fin 2006, le marché devrait atteindre les 180 millions.
"Nous venons de lancer le plus petit lecteur numérique au monde. Il est deux fois plus petit et peut stocker deux fois plus de musique que son prédécesseur", affirme Pascal Cagni, directeur général Europe.
Reste à savoir si Apple pourra résister à la concurrence de Microsoft. Le géant des logiciels doit lancer le 14 novembre aux Etats-Unis son baladeur numérique baptisé Zune, construit par Toshiba, au prix de 249,99 dollars. Le même jour, Microsoft ouvrira Zune Market Place, un magasin de musique en ligne. Comme l'iPod, le Zune offrira de la musique et des vidéos. Mais il ne permettra pas encore de télécharger des films sur Internet.
Apple a annoncé en septembre le lancement d'un service légal et payant de téléchargement de films (entre 9,99 dollars et 14,99 dollars). D'où la réponse de Steve Jobs, interrogé il y a quelques jours par le magazine Newsweek sur le fait de savoir si l'arrivée de Microsoft l'inquiétait : "En un mot, non", a-t-il répondu.
Cette suprématie dans la musique se retrouve dans les comptes d'Apple. En 2005-2006, la part de ce secteur a représenté 42 % de son chiffre d'affaires.
Sur le volet des ordinateurs, preuve est faite que le succès de l'iPod profite aussi aux Mac. Il ne s'en est jamais autant vendu qu'au cours de l'exercice 2005-2006 : 5,3 millions.
"C'est d'autant mieux qu'Apple était engagé dans une phase de transition. Sur le premier et le deuxième trimestre nous avons connu une pause dans les ventes puisque nous avions décidé de changer de processeur durant l'année", indique M. Cagni. Depuis janvier, les nouvelles machines sont équipées de puces Intel, plus performantes. Jusqu'alors, Apple utilisait des puces IBM et Freescale.
Surtout, la société californienne a décidé de lancer un logiciel permettant d'utiliser le système d'exploitation de Microsoft - Windows - sur ses ordinateurs. Les utilisateurs de Mac peuvent, selon leur choix, démarrer leur ordinateur sur Mac OS ou sur Windows.
Un revirement stratégique susceptible, selon les analystes, de lui faire gagner des parts de marché. Car, malgré les bons chiffres de vente d'ordinateurs, son positionnement reste faible : environ 3 % du marché, contre 10 % au milieu des années 1980.
Nathalie Brafman
Article paru dans l'édition du 22.10.06
Alerte aux espions dans les labos français
LE MONDE | 25.10.06 | 14h16 • Mis à jour le 25.10.06 | 14h16
Le préfet Rémy Pautrat est en colère. "Dans ce pays, on se préoccupe de sécurité publique dans les banlieues ; mais pas de sécurité économique", s'alarme-t-il. Les pôles de compétitivité, lancés par le gouvernement pour stimuler l'innovation et la recherche françaises, seraient ouverts à tous les vents, au regard et à l'ouïe de concurrents à l'affût.
"C'est dramatique, hallucinant", s'insurge-t-il. Ces pôles comptent tout ce que la France a de meilleur en matière technologique. Et pour cause. Ils ont été sélectionnés sur ce critère d'excellence.
"Il faut se méfier des prédateurs. Or, certains dossiers de labélisation (entreprises et laboratoires y décrivent leurs projets pour être sélectionnés) se sont retrouvés sur Internet. Quand ils ne sont pas restés entassés dans les couloirs des ministères", ajoute l'ancien directeur de la surveillance du territoire (DST) et ex-secrétaire général adjoint de la défense nationale (SGDN). "C'était un encouragement au pillage", constate-t-il.
M. Pautrat est aujourd'hui délégué général de France Intelligence Innovation (FI2), une société de conseil en intelligence économique mi-publique, mi-privée. Ses actionnaires sont l'Agence pour la diffusion de l'information technologique (ADIT) et la Compagnie européenne d'intelligence stratégique (CEIS), créée par un ancien député, Olivier Darrason.
Pourtant, l'intelligence économique figurait bien dans l'un des premiers communiqués sur les pôles de compétitivité, publié en septembre 2004. Un budget de 2 millions d'euros était prévu à cet effet. Mais il semble que les sommes aient été dépensées à d'autres fins.
Daniel Darmon, conseiller auprès du délégué ministériel à l'aménagement et à la compétitivité du territoire (Diact), relativise le problème. "La sécurité globale a été mal prise en compte, reconnaît-il. Mais pas la sécurité des dossiers. Les experts chargés de la sélection avaient signé des clauses de confidentialité."
La vigilance ne semble néanmoins pas avoir été parfaite sur toute la chaîne. "Deux personnes appartenant au conseil de gouvernance d'un pôle se sont révélées avoir été condamnées à des peines de prison pour intelligence avec une puissance étrangère", affirme M. Pautrat. Un chercheur qui travaillait sur de nouvelles molécules se serait fait voler son ordinateur portable, qui contenait des informations cruciales, dans une salle d'attente d'aéroport...
Lors d'une réunion tenue le 20 janvier au ministère de l'intérieur, sous la présidence de Claude Guéant, directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy, le patron de la DST, Pierre de Bousquet de Florian, a confirmé qu'il détenait "un catalogue d'horreurs". L'alerte fut donc donnée. Dans une lettre à son homologue au ministère de l'économie en date du 1er février, M. Guéant annonce que des procédures de sécurité vont être testées dans des pôles.
La question est très délicate. Le contrôle des informations n'est-il pas antinomique avec l'objectif des pôles ? Avec la volonté de faire travailler ensemble des entreprises petites ou grandes, des laboratoires publics et privés, pour faire émerger une meilleure créativité ?
Or ces différentes populations ont des habitudes et des besoins différents en matière de confidentialité. Les grandes entreprises connaissent les risques de l'espionnage économique et leurs équipes sont généralement formées pour y parer ; ce qui n'est guère le cas des petites et moyennes entreprises, qui, elles, craignent surtout de voir leur savoir-faire pillé par les grands groupes avec lesquels elles sont censées travailler. Quant aux chercheurs, baignant dans une culture scientifique internationale, ils ont au contraire intérêt à publier pour être reconnus et promus.
Pour faire passer le message de la prudence, un contrat de formation et de conseil a été confié à FI2, avec un budget de 100 000 euros par pôle, financé à 80 % par l'Etat et 20 % par les pôles eux-mêmes. Onze d'entre eux ont été sélectionnés, parmi lesquels Atlantic Biothérapies (Pays de la Loire) ou Chimie-environnement (Rhône-Alpes).
Les équipes de FI2 leur apprennent à ouvrir l'oeil : telle délégation coréenne ou chinoise ne doit parcourir que des chemins balisés, aucun visiteur ne doit être admis sans montrer patte blanche (récemment, le représentant d'un fonds d'investissement américain fut repéré faisant discrètement son marché dans un pôle francilien).
Mais l'essentiel est sans doute d'établir la confiance au sein de ces entités entre les différents partenaires en mettant en place des règles de fonctionnement.
Les informations doivent, par exemple, être étiquetées au fur et à mesure de leur élaboration, selon leur nature : "critiques", si elles ne doivent être partagées avec personne, "sensibles", quand elles peuvent être partagées sous condition, et "ouvertes", quand elles peuvent être diffusées sans contrainte.
Mais certaines informations qualifiées de sensibles au sein du pôle peuvent devenir "critiques" à l'extérieur. Des logiciels sont en cours d'élaboration pour automatiser cette indexation, actuellement effectuée à la main.
Au pôle Atlantic Biothérapies de Nantes et Angers, Christophe Angot, nouvellement nommé "correspondant en sécurité économique", a commencé de prêcher la bonne parole : plus question de partir à l'étranger avec des dossiers contenant des informations critiques non cryptées. Interdit aussi de trop parler dans le TGV ou de laisser traîner des cahiers de laboratoire sur les paillasses.
Ces opérations pilotes vont permettre d'élaborer un guide de bonnes pratiques d'ici à la fin du mois de novembre.
Annie Kahn
Article paru dans l'édition du 26.10.06