koukoukouk a écrit :la nage de l'asticot

En fait il y a plusieurs solutions, en fonction des qualités de chacun, et de ce que l'on impose. Là, dans le cas pour les gosses, j'ai été progressif, en leur donnant diverses consignes. Du plus facile, au plus difficiles.
Sans toucher le fond, l'idéal, c'est en ondulation, ou battement simultané des 2 jambes, en restant en équilibre dorsale, pour ceux qui flottent bien. Ensuite, il y a en position ventrale, ondulation. Certains arrivent en costale.
Ensuite, il faut sortir du bassin, avec les plages c'est assez facile, ou alors l'échelle...bref, c'était pour amuser les gosses, ça leur à plus, c'était l'essentiel, de plus, ça peut servir, avec les enculés qui se baladent...
Bon, pour revenir au stress, je pense qu'il est différent d'un sujet à l'autre, que tous les compétiteurs stressent avant le départ, certains bien avant! je ne pense pas que l'on puisse ne plus ressentir de stress, mais que l'on apprend à le gérer, tout simplement. Le stress n'est pas mauvais, bien au contraire. Il faut y penser dès l'entraînement, c'est important dans la réussite d'un objectif. On ne pas pas ne pas y faire face le moment venu, à moins de ne pas prendre le départ de la course dans notre cas, et j'en connais à qui s'est arrivé.
Sujet souvent évoqué par les athlètes de haut niveau, donc, même eux et toute leur expérience on des soucis avec le stress. Plus l'enjeux est important, plus c'est problématique, plus il faut s'y préparer. (Sophro, relax, Yoga...)