Publié : 24 févr. 2007, 16:41
Pour info.
Un vice de forme pourrait conduire à l'abandon des poursuites lancées à l'encontre de Floyd Landis, contrôlé positif pendant son Tour de France victorieux en juillet 2006, rapporte vendredi le Los Angeles Times.
Selon le quotidien californien, deux mêmes analystes du laboratoire national de dépistage du dopage de Châtenay-Malabry, Esther Cerpolini et Cynthia Mongongu, ont assisté à la manipulation des échantillons A et B du coureur, en contravention avec le règlement en matière de lutte antidopage. Une erreur similaire de ce même laboratoire avait conduit, en 2005, à l'abandon des poursuites contre le coureur espagnol Inigo Landaluze, rappelle le journal.
Landis, 31 ans, n'a cessé de contester la validité des analyses menées par le laboratoire de Châtenay-Malabry, affirmant que de "nombreuses erreurs" avaient été commises lors de la procédure. Le coureur est par ailleurs convoqué le 14 mai par l'agence américaine antidopage et risque une suspension de deux ans. L'Agence française de lutte contre le dopage a décidé de reporter l'examen de son cas jusqu'à la fin de la procédure américaine -fixant cependant une limite à fin juin-, en échange du renoncement du cycliste à courir en France en 2007.
Un vice de forme pourrait conduire à l'abandon des poursuites lancées à l'encontre de Floyd Landis, contrôlé positif pendant son Tour de France victorieux en juillet 2006, rapporte vendredi le Los Angeles Times.
Selon le quotidien californien, deux mêmes analystes du laboratoire national de dépistage du dopage de Châtenay-Malabry, Esther Cerpolini et Cynthia Mongongu, ont assisté à la manipulation des échantillons A et B du coureur, en contravention avec le règlement en matière de lutte antidopage. Une erreur similaire de ce même laboratoire avait conduit, en 2005, à l'abandon des poursuites contre le coureur espagnol Inigo Landaluze, rappelle le journal.
Landis, 31 ans, n'a cessé de contester la validité des analyses menées par le laboratoire de Châtenay-Malabry, affirmant que de "nombreuses erreurs" avaient été commises lors de la procédure. Le coureur est par ailleurs convoqué le 14 mai par l'agence américaine antidopage et risque une suspension de deux ans. L'Agence française de lutte contre le dopage a décidé de reporter l'examen de son cas jusqu'à la fin de la procédure américaine -fixant cependant une limite à fin juin-, en échange du renoncement du cycliste à courir en France en 2007.