Giro
Publié : 16 mai 2010, 20:27
L'étape d'hier Carrara - Montalcino, 216 km
punaise !!!










eh ben...
Cadel Evans (AUS/BMC), vainqueur de l'étape : «C'était une étape incroyable. Spectaculaire, c'est un mot trop faible pour la définir. Nous l'avions très bien préparée, pour le matériel, la reconnaissance. Je suis très content pour l'équipe. Avant le premier secteur, j'ai évité heureusement la chute des Liquigas. Ensuite, je suis revenu seul sur Vinokourov et Garzelli. C'est un pas très important vers le maillot rose. Le parcours m'était favorable. Sept ans de VTT, ça ne s'oublie pas... Je suis très satisfait du résultat.»
Alexandre Vinokourov (KAZ/Astana), nouveau leader : «Le final, c'était Paris-Roubaix ! Aujourd'hui, l'objectif n'était pas de prendre le maillot rose. On voulait surtout durcir la course. Après la chute de Nibali, on a ralenti un peu, on a regardé avec Garzelli ce qui se passait derrière. Mais on entrait dans les 'strade bianche' (chemins de terre), il y a eu les Milram devant, on n'allait pas attendre. Avec la pluie, c'était vraiment dur. C'est peut-être un spectacle pour le public mais pour les coureurs, ce n'est pas le cas. Pour une course d'un jour, ça va mais dans un grand tour... La suite ? La prochaine étape est encore dure, avec une arrivée au sommet.»












eh ben...

Cadel Evans (AUS/BMC), vainqueur de l'étape : «C'était une étape incroyable. Spectaculaire, c'est un mot trop faible pour la définir. Nous l'avions très bien préparée, pour le matériel, la reconnaissance. Je suis très content pour l'équipe. Avant le premier secteur, j'ai évité heureusement la chute des Liquigas. Ensuite, je suis revenu seul sur Vinokourov et Garzelli. C'est un pas très important vers le maillot rose. Le parcours m'était favorable. Sept ans de VTT, ça ne s'oublie pas... Je suis très satisfait du résultat.»
Alexandre Vinokourov (KAZ/Astana), nouveau leader : «Le final, c'était Paris-Roubaix ! Aujourd'hui, l'objectif n'était pas de prendre le maillot rose. On voulait surtout durcir la course. Après la chute de Nibali, on a ralenti un peu, on a regardé avec Garzelli ce qui se passait derrière. Mais on entrait dans les 'strade bianche' (chemins de terre), il y a eu les Milram devant, on n'allait pas attendre. Avec la pluie, c'était vraiment dur. C'est peut-être un spectacle pour le public mais pour les coureurs, ce n'est pas le cas. Pour une course d'un jour, ça va mais dans un grand tour... La suite ? La prochaine étape est encore dure, avec une arrivée au sommet.»